" O toi ma belle hongroise,
Aux allures autrichiennes,
Tu me laisses pantoise
Devant tes courbes danubiennes.
Une ambiance orientale,
Dans les murs, des prières,
Un quartier juif s'emballe
Et soudain, les lumières.
Belle humaniste de la Renaissance,
Romaine, mongole, ottomane, autrichienne
Parfois soumise, les pierres aux chaines,
Tu fus aussi le miroir de la puissance.
Cité démesurée,
Au contraste flagrant,
On peut encore vibrer,
Sur tes âmes d'antant.
Enivré par ton aura,
Dans tes rues, je titube.
A jamais rayonnera,
La perle du Danube.